jeudi 13 mars 2014

La 2ème édition du Fantôme du Collège



Le journal du collège  
écrit et mis en pages par les collégiens 
pour les collégiens.

A la sortie du 1er journal, en décembre, l'enthousiasme était unanime.
Le sourire aux lèvres, la fierté dans les cœurs... juste un peu de déception lorsque les articles n'avaient pas été validés, mais tout le monde était reparti vers son clavier pour... écrire.

De suite, l'idée d'éditer un deuxième feuillet "LFDC2" sur les clubs au collège est née...

Formidables petits journalistes et écrivains en herbe...
Il faut les voir tous les vendredis s'activer, seul ou en groupe chacun devant son écran et encore le soir, le mercredi, le week end et chaque jour des vacances..


Elodie et Sandra sont devenues les rédactrices en chef.
Elles conseillent, améliorent, mettent en page, proposent, disposent...


Un outil: Google docs qui permet de travailler en ligne avec des collaborateurs.

 Cette deuxième édition sortira le vendredi 21 mars 

dimanche 8 décembre 2013

Monsieur TIJOU nous a expliqué...



Le fantôme du clocher fascine et laisse la part belle à l'imagination.
Les journalistes en herbe en ont à revendre...
C'est ce qu'a constaté M. Tijou, ancien directeur du collège qui est venu préciser quelques repères chronologiques et historiques à propos du site et de l'abbaye Ste Croix.






L’histoire du collège

En ce vendredi 29 novembre 2013, Mr. Tijou est venu nous rendre visite au collège Notre Dame de Bourgenay pendant notre comité de rédaction. Mr. Tijou est un des anciens directeurs de ce collège, il l’a été de 1989 à 2002. Il nous a expliqué plusieurs choses très passionnantes !

Il y a 400 ans, le collège Bourgenay était en fait un monastère. Les moines capucins l’ont occupé jusqu’au début de la révolution. La mairie des Sables a occupé l’établissement pendant cette Révolution et après cet évènement, un maire le racheta et s’en servit comme propriété personnelle. Ensuite, en 1835, le clocher et la chapelle furent érigés. Dans les années 1850 à 1860, Mr. Mercier a fait construire un autel pour cette chapelle. Comme cet autel était assez grand, on suréleva le plafond de la chapelle en 1860. L’abbaye Sainte Croix avait besoin d’un autel donc on prit celui de la chapelle pendant 7 ans. Pendant ces 7 années, Mr. Mercier fit construire un autre autel et quand l’ancien autel fut rendu, il fut délaissé.
D'ailleurs, la rue des Mercier fut créée en l’honneur de cette famille.. Vers les années 1950, Mr. Retail, le jardinier des bonnes sœurs a construit une petite maison pour y vivre. Elle sert maintenant à entreposer les ustensiles du club Nature à l’entrée du collège..

Pour ceux qui ne croient pas au Fantôme du Clocher : mettez-vous devant la porte de la salle de musique et regardez en face de vous. Sur le mur de pierre se trouve une énorme croix blanche. Elle appartenait au cimetière sur lequel a été bâti le collège et la rue de Verdun!!!



Article d’Elodie L. et de Mélissa R.






dimanche 17 novembre 2013

L'EDITION DE DECEMBRE

En avant première de la version papier:

Le FantOme Du Clocher
Le journal du collège ND Bourgenay –Numéro 1 -  Décembre  2013 -


Article d’Elodie L. et de Mélissa R.  .L’histoire du Clocher.
C’est l’histoire d’un roi, qui se nommait Jean-Louis De Beaumont. Il portait toujours un costume blanc. Sur son menton poussait une barbe blanche et sur sa tête des cheveux blancs également. Sur son poignet un ruban BLEU, BLANC et ROUGE.  Elles étaient ses couleurs préférées. Mme de Beaumont, sa femme, s’était enfuie. Elle disait que le château, qui était pourtant majestueux, était malheureusement hanté …
Mais Jean-Louis ne croyait pas aux fantômes.
Un jour, le roi alla dans le clocher (car il y en avait un dans le château) il entendit :“Allez - vous en !”, surpris il regarda autour de lui mais ne vit personne.
Quelques jours plus tard, il y retourna et entendit pour la seconde fois, d’abord un craquement puis soudain une silhouette de fumée malodorante surgit, qui le menaça d’une voix rauque et terrifiante :
“Va t’en ! Et ne reviens plus !” et le fantôme disparut aussitôt…
Jean-Louis prit de peur, s’enfuit et descendit les deux étages à toute vitesse.
Deux semaines plus tard, le roi se décida enfin à appeler son ami Joeffrey qui n’avait peur de rien. Après quatre heures de cheval il arriva au château. Ils montèrent dans le clocher avec des armes pour se protéger du fantôme que Jean-Louis avait nommé: “Le fantôme du clocher”. Dans le clocher, il fit soudain un froid extrême. Le fantôme surgit et murmura:: “Êtes-vous sourds ou stupides ?”,
- Nous ne sommes aucun des deux !”, répondit Joeffrey d’une voix tremblante.
Jean-Louis ne dit rien car il avait beaucoup trop peur pour parler de quoi que ce soit. Le fantôme leur souffla dessus et les deux amis étouffèrent. Ils durent sortir pour retrouver leur souffle. Ils eurent une peur bleue ! Ils décidèrent de condamner le clocher et le lendemain ils préparèrent leurs bagages noirs diamantés et s’en allèrent très très loin d’ici, Jean-Louis avec son carrosse et Joeffrey sur son cheval.
C’est pourquoi, depuis ce jour-là, quand les élèves de Bourgenay (car l’histoire s’est passée dans le collège) vont visiter le clocher, ils ont très peur et qu’on ne peut plus franchir la porte qui menait à ce clocher.
Le fantôme y est encore enfermé !

                                  Pia le Gal 6°G  








LA GYMNASTIQUE, MA PASSION


J’ai commencé la GAF (Gymnastique Artistique Féminine) à 7 ans. Une amie de ma classe m’avait dit que j’étais plutôt douée, alors j’ai commencé avec elle et j’en fais depuis 4 ans.


J’en fais 4 heures par semaine, 2 heures le jeudi et 2 heures le samedi au club de “Beauséjour Gymnastique” des Sables d’Olonne.
J’essaie d’être présente à chaque cours. Ce n’est pas toujours facile car c’est d’abord un sport de rigueur.
Chaque année il y a des compétitions en équipes ou en individuels, où les gymnastes ont un enchaînement sur une musique choisie par eux mêmes.
Pour les filles, 4 agrès sont imposés : la poutre, le sol, le saut et les barres asymétriques que je préfère.


La compétition en équipe, nous permet de défendre les couleurs de notre club contre d’autres équipes de Vendée. Ce jour là nous formons un groupe très motivé pour gagner.


La compétition en individuel, permet de se rendre compte de notre niveau. Il faut se surpasser et la victoire donne une grande satisfaction.
L’an dernier ma compétition départementale m’a permis de participer à la compétition régionale. Et ça m’a fait très plaisir.


Ce n’est pas toujours facile après une journée d’école de faire 2 heures de gym et le samedi matin j’aimerais pouvoir dormir.


J’admire des sportifs des jeux olympiques : Anne Kuhm et Youna Dufournet (toutes les deux gymnastes françaises).

J’ai encore beaucoup à apprendre dans ce sport. Par envie et par passion, je continuerai le plus longtemps possible

Josépha Tessier 6B





La pollution au collège


J’ai remarqué qu’il y avait  de la pollution au collège :
les papiers de bonbons , les bâtons de sucette , des peaux de fruits (oranges , raisins , ...) et des emballages de gâteaux sur le sol et dans les grilles d’égout .


Il faut moins polluer la planète et respecter le travail de
M Joseph, en jetant vos déchets à la poubelle .


Le mieux étant de moins en manger  : vous aurez  ainsi moins de caries et il y aura moins de déchets.
J’ai 3 solutions contre ce fléau


1- Enlever des points sur la “vie scolaire”à ceux qui jettent les papiers par terre au lieu de les mettre à  la poubelle .


2- Faire signer une charte aux élèves et à leurs parents, où ils s’engageraient à respecter la propreté de l’établissement .


3- Faire  ramasser les déchets à ceux qui les jettent par terre .



Pour repérer les élèves , le collège pourrait mettre des surveillantes à chaque coins de la cour.
A chaque récréation et aux récrés décalées.



Merci d’avance!!!
Damien Trichet 6C











dimanche 10 novembre 2013

VENDREDI 15 NOVEMBRE


RDV devant la Vie scolaire à 12h50. 



Rappel: Comment écrire un article ?

     1- Avoir une idée d'article concernant la vie du collège:
un événement à raconter,
 une interview des personnes  travaillant au collège
un reportage: une intuition, une remarque
une passion à faire partager
une enquête (sur un autre club)
une rubrique particulière
etc.
     2- Se connecter à google docs
aller sur google.
saisir: "segpabourgenay"
colonne de droite: "accès directs"
google apps
dans la fenêtre ouverte: cliquer sur le lien google docs
écrire son identifiant = prénom.nom (minuscules attachées)
saisir son mot de passe
ok

     3- Créer une page 
Cliquer sur  "plus" pour avoir "tous les éléments"
En haut à gauche: cliquer sur "CREER"
choisir: document texte
en haut à droite (en bleu) "partager"
écrire un titre sous la forme: LFDC - votre Prénom - Titre - La date 
ok
Puis, chercher: Gilbert martineau
enregistrer
ok
C'est prêt: vous pouvez écrire un article...

     4- Améliorer un article:
Ecrire le premier jet en noir
police: arial
taille: 12

M. Martineau insèrera un tableau bleu en entête de chaque article écrit, 
il faudra le lire à chaque fois car il y est donné tout ce qui est à faire.
Les corrections à produire sont indiquées en rouge
après votre correction laisser le mot en rouge
ne pas supprimer les commentaires à droite.
c'est M. Martineau qui remettra tout en noir et supprimera les commentaires.


     5- Publication
Seulement les articles terminés seront lus par les auteurs en Comité de Rédaction
ils pourront subir quelques modifications avant le vote pour savoir si l'article sera publié ou pas.
1ère publication sur le blog   http://bourgenay-journalducollege2013.blogspot.fr/
2ème publication sur la version: "journal papier"


SORTIE DU 1er JOURNAL: le 13 décembre 2013


à vos claviers...







mardi 15 octobre 2013



VENDREDI 16 OCTOBRE.

Tous les journalistes recevront leur code d'accès à google docs.
Premières parutions d'articles très rapidement...
A vos claviers... prêts ... partez!

RDV à 12h50 devant la vie scolaire.